Dans ce contexte, de nombreux États ont adopté de nouvelles lois sur l’insolvabilité modifiant les règles applicables jusqu’à présent et le législateur devra intégrer la directive insolvabilité avant juin 2021. Il est dès lors essentiel que les avocats, les praticiens, les juges, les entrepreneurs, les experts-comptables, les réviseurs, les banques, les institutionnels et les travailleurs puissent à la fois comprendre ces nouvelles règles et exprimer leur avis sur ce que devrait contenir la nouvelle loi.
C’est l’un des objectifs des auteurs de l’ouvrage L’entreprise en difficulté, ses dirigeants, ses créanciers qui vient de paraitre aux éditions Anthémis.
Dressant un état des lieux ainsi que des recommandations pour faire face à la crise du coronavirus, il se penche notamment sur les questions suivantes :
- De quels moyens d’action le créancier dispose-t-il face à une société débitrice en faillite ?
- Dans quels cas peut-il engager la responsabilité personnelle des fondateurs ou dirigeants afin de maximiser la récupération de sa créance ?
- Les débiteurs seront-ils le futur des créanciers après la crise ?
- Quels sont les impacts fiscaux des opérations menant à des réductions totales ou partielles de créances?
- Comment les créanciers peuvent-ils améliorer leur position si la crise perdure ?
- Quel avenir pour les procédures de réorganisation judiciaire et les faillites dans une crise importante ?
- Comment intervenir dans la procédure pour obliger l’entreprise à agir tant qu’il est possible d’être payé?
- La faillite de l’administrateur ou du dirigeant constitue-t-elle une menace ou une opportunité ?
Plus d’infos : http://www.anthemis.be/index.php/l-entreprise-en-difficulte-ses-dirigeants-et-ses-creanciers.html