- Communiquer les infos à la bonne cible, au bon moment
• Des services connexes pour simplifier la vie des clients
Agence plaque tournante
Ses études en relations publiques achevées, Olivier Duquaine rejoint une agence de communication spécialisée dans les relations presse. Au bout d’une décennie, ayant côtoyé de nombreux clients dans de très divers secteurs d’activités, il connaît désormais toutes les arcanes du métier. En 2007, Olivier se sent alors suffisamment à l’aise pour lancer sa propre boite. « Notre cœur de métier, ce sont les relations presse. Nous créons des outils pour nos clients, des communiqués ou des dossiers de presse ; nous organisons des conférences ou des voyages de presse. Nous jouons les intermédiaires et maximisons les chances de faire connaître les projets et développements de sociétés en touchant les contacts ciblés parmi les médias. A ces personnes – clés, nous fournissons le bon contenu au bon moment. Nous sommes des « intermédiaires-facilitateurs » estime le jeune chef d’entreprise.
Autour de son activité principale se greffent des services que l’agence apporte en direct ou pas, en ligne avec la culture d’entreprise, son identité, son image. « Nous connaissons de nombreux prestataires, des studios, des copywriters. Proposer un media training, aider à l’élaboration d’un carton d’invitation et en suivre la mise en page et la production, imaginer le concept d’un événement et dénicher le photographe ou l’hôtesse d’accueil, coordonner la réalisation d’un site web… ce sont des tâches que nous avons pu effectuer à la demande en sortant de notre rôle d’attaché de presse ».
La petite structure flexible de Backstage Communication est constituée, outre de son fondateur, de « John », néerlandophone, pour les contacts presse au nord du pays. Véronique et Ania la complètent, ainsi que quelques indépendants en renfort, en fonction des types de missions. Dans son portefeuille, l’agence compte de grosses sociétés, mais aussi de plus modestes. Nausicaa, Belambra Clubs, Gault&Millau, Le Touquet-Paris-Plage, Orcières 1850, la banque Pictet ou encore Picard Surgelés (ndlr : plus de 900 enseignes en France et toujours davantage en Belgique) et BSB, Elegio, Quadrus, Aventure Parc, TriFinance en Brabant wallon sont parmi celles qui lui ont fait confiance. « J’ai la chance, avoue Olivier, de ne pas devoir prospecter. Les clients m’arrivent via mon réseau relationnel et des recommandations. Cela se fait assez naturellement ! ». Il ajoute que le CA de Backstage a frisé les 650.000 euros en 2013 : « Pas mal, pour une petite TPE, non ? »
Métier en mutation
Se penchant sur son passé professionnel, sans s’apitoyer, le chef d’entreprise constate : « Le métier a changé. Avec la crise, les budgets publicitaires/Communication ont été mis à mal. Les rédactions se sont allégées et, de ce fait, les journalistes se déplacent moins en conférences de presse. La rotation des personnes de contact s’est amplifiée et donc, nos portes d’entrée se retrouvent parfois fermées du jour au lendemain ». Les contraintes des agences de relations presse se sont donc accrues, parallèlement à leur flexibilité. « Ce qui fonctionnait avant ne fonctionne plus aujourd’hui. Mais nous trouvons des alternatives pour obtenir des retombées pour nos clients. Nous nous sommes e.a. spécialisés dans l’achat d’espaces publicitaires (Backstage est agréée par le C.E.R) et nous intégrons aussi les médias sociaux à nos stratégies ».
Avant chaque mission, Olivier prend le temps de brosser le paysage médiatique, les spécificités du marché. « Je veux être bien clair sur les limites de ce que l’on fait et répéter que l’on ne peut, la plupart du temps, se passer d’une force de vente efficace ou de budgets pub, derrière ».
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