Mes clients sont-il satisfaits ? Ma communication est-elle adaptée ? Qui sont mes concurrents principaux ? Ces questions et bien d’autres, nos TPE et PME se les posent sans savoir comment en obtenir les réponses. Bureau d’études de marché, Incidence les glane et leur tire une photographie du paysage à un moment précis. Eclairant pour conforter son cap ou décider d’en changer…
C’est en 2012 que Geoffroy Comhaire fonde son bureau d’études de marché « Incidence », après quelques années d’expérience dans un institut du secteur. Le neuropsychologue, qui a complété sa formation intitiale par un diplôme en marketing, continue ainsi à suivre son fil rouge, celui de la compréhension des comportements. « Vincent Ravet, un ancien collègue, m’a rapidement rejoint et nous avons ainsi cumulé ensemble près d’1/2 siècle d’expérience » indique-t-il. Dynamique et flexible, Incidence active des compétences spécifiques à chaque projet et veut combler une lacune.
« Nous venons avec des solutions appropriées et abordables pour les petites et moyennes structures, du secteur marchand, des secteurs publics et non marchands ». Alors que les bureaux d’études traditionnels ciblent les grosses entreprises/institutions, la société présente une approche spécifique avec des questionnaires assez standardisés, mais adaptables, ce qui entraine de facto une diminution de coûts pour le client. Inutile de réinventer la roue et de surfacturer des prestations inutiles. Geoffroy défend avec conviction ce positionnement et les valeurs ajoutées d’Incidence…
- Les types d’études et leurs médias
« Nos enquêtes sont de type qualitatif, débouchant alors sur des schémas, des rapports « littéraires », mais certainement pas des chiffres. On tente de remplir la case pour chaque profil requis. L’expertise du chargé d’études est primordiale pour l’analyse de ce type de sondage, plus onéreux, qui ne vise pas la quantité, mais la qualité ! Bien entendu, nous menons également des études de type quantitatif avec des résultats traduits sous forme de statistiques, comme lors du salon Batibouw, pour évaluer la satisfaction des visiteurs. La méthodologie va vraiment dépendre de ce que notre client recherche… Nous ne sommes pas ‘mariés à une solution’ : nous pouvons utiliser les méthodes de mail, face à face, téléphone. Nous faisons aussi bon nombre d’enquêtes mystères…»
- Pourquoi ne pas réaliser ses sondages soi-même ?
« Je comprends bien que l’idée soit tentante. Mais des outils comme « google form » ne sont pas toujours calibrés dans le respect de certains principes, comme celui d’épuiser les questions générales avant de passer à celles de détails. Ils risquent d’induire des réponses qui suivent. Nous sommes, du reste, les garants d’une neutralité que ne peuvent avoir ceux qui réalisent leurs questionnaires pour leur société et qui vont, parfois inconsciemment, les orienter… »
- Les risques multiples des sondages
« Avant de lancer le questionnaire vers les participants, le risque existe déjà dans son élaboration même : à questions mal posées, réponses mauvaises ! Il faut prendre garde, également, je le répète, à ne pas « orienter » le sondage. Ce dernier nécessite une bonne mise en forme, l’adaptation à des contraintes techniques. Et, in fine, après la récolte des réponses vient le temps de l’analyse, pour comprendre comment utiliser ces statistiques… A ce stade, nous sommes les cartographes de l’entreprise. Nous mettons en relief les différentes routes et leurs écueils éventuels », compare Geoffroy Comhaire. Sur base de ces indications, il restera au capitaine du navire à trancher sur l’itinéraire à suivre…
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