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Moitié au bureau, moitié à la maison : 6 astuces pour faire du travail hybride une réussite

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Après plus d’un an de télétravail obligatoire pour les employés de bureau, une nouvelle phase s’amorce. Depuis le 9 juin dernier, nous pouvons retourner au bureau un jour par semaine. À partir de juillet, le télétravail ne sera plus obligatoire, mais fortement recommandé – c’est en tout cas ce qui est actuellement prévu. Nous dirigeons-nous vers un retour aux cinq jours de présentiel par semaine ? Il vaudrait mieux maintenir le curseur au milieu, selon nous. Voici nos conseils pour réussir le passage vers ce nouveau mode de travail hybride.

1. Décidez quelles tâches peuvent être réalisées à la maison et quelles tâches doivent être faites au bureau

Les entreprises qui optent pour un mélange de télétravail et de présentiel doivent d’abord faire un exercice : quelles sont les choses que les travailleurs peuvent faire plus efficacement à la maison et quand vaut-il mieux que tout le monde se réunisse ? Une concertation purement opérationnelle peut parfaitement avoir lieu en ligne et il est parfois plus facile de faire chez soi les tâches qui demandent de la concentration. En revanche, pour les formations, le brainstorming ou les concertations avec les clients, le télétravail est moins approprié. 

2. Tenez compte des différents types de travailleurs

Certains travailleurs ont durement souffert du manque d’interactions sociales au cours de l’année passée et sont impatients de pouvoir retourner au bureau. Les personnes plus introverties, quant à elles, ont peut-être découvert les avantages du télétravail et peuvent être un peu réticentes à retrouver l’open space et à travailler entourées de collègues bruyants. Lors de la mise en place d’une structure de travail hybride, il s’agit de tenir compte des différents tempéraments. 

3. Mettez les choses au clair

Avec une partie de votre personnel en télétravail et une autre partie en présentiel, il est plus important que jamais de mettre les choses au clair en ce qui concerne la disponibilité, les responsabilités et les outils de communication. Il en va de même pour la communication, qui doit être claire. En tant que cadre, vous devez être particulièrement à l’écoute des télétravailleurs réguliers. Si vous remarquez qu’un certain travailleur choisit toujours de se connecter pour les réunions, demandez-lui ce qui le retient de revenir au bureau. 

4. Laissez une marge de manœuvre

Mettre les choses noir sur blanc, c’est bien, mais il ne faut pas que tout soit gravé dans le marbre. Le travail hybride demande de la flexibilité, tant de la part des travailleurs que de celle des employeurs. Par exemple, convenez avec vos collaborateurs qu’ils peuvent travailler à domicile certains jours fixes, sauf lorsque des brainstormings en équipe ou des réunions importantes avec des clients sont prévus.

Cela doit être possible, même si cela implique que telle personne doit venir travailler 4 jours au bureau au lieu de 3. Ou imaginons qu’un travailleur indique ne pas vraiment bien fonctionner chez lui : pourquoi ne pas lui permettre de venir tous les jours au bureau ? Laissez autant que possible le choix à vos collaborateurs. Cela ne pourra qu’être profitable en termes de motivation et d’engagement. 

5. Continuez à accorder votre confiance

Pour les cadres, le nouveau mode de travail hybride reste une leçon de confiance. Or, certains se crispent et exigent un retour complet au bureau après la crise. L’idéal est de trouver un juste milieu, en équilibrant ce dont l’entreprise a besoin et la façon dont les travailleurs aimeraient organiser leur travail. 

6. Trouvez la bonne formule et évaluez-la

Jusqu’à présent, nous avons dû faire contre mauvaise fortune bon cœur et nous n’avions d’autre choix que d’organiser le télétravail de la manière la plus efficace possible. Désormais, nous sommes dans une situation où chaque organisation peut faire ses propres choix en fonction de sa culture d’entreprise. Il est donc difficile d’établir des règles fixes autour du travail hybride. Le conseil le plus important est peut-être de se souvenir qu’il ne s’agit pas d’une science exacte. Chaque entreprise doit donc rechercher la formule qui lui convient le mieux et l’évaluer régulièrement avec les collaborateurs.

SOURCE : SD WORX

Image par Martin Vorel de Pixabay 

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Publication par communiqué de presse.
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