Basée à Namur, le KIKK est une association sans but lucratif fondée en septembre 2011. Elle crée des ponts au sein du secteur des industries culturelles et créatives et décloisonne les domaines de l’art, de la science, de l’innovation et des technologies.
Le KIKK s’intéresse à l’émergence de nouvelles pratiques culturelles et artistiques qui naissent des évolutions techno-scientifiques à travers 4 piliers : le KIKK (festival des cultures numériques), le Pavillon (lieu d’exposition dédié aux cultures numériques), la production artistique à travers un programme de résidence, le TRAKK (espace de coworking et de co-création).
En lançant le média 100 % digital kingkong, Kikk poursuit un objectif principal : compléter et documenter les 4 grands projets de l’asbl. C’est également enrichir, poursuivre et donner de l’ampleur au travail mis en œuvre depuis sa création.
Kingkong est un nom déjà connu pour ceux qui suivent les activités du KIKK, puisque c’est celui que portait le magazine dédié aux cultures créatives, produit par l’association entre 2017 et 2019.
« La mission que nous nous sommes fixée, c’est d’être des exploratrices passionnées » expliquent la rédactrice en chef Julie Mouvet et la coordinatrice Julie Peustjens. « Inspiré par l’art, la culture, le numérique et l’innovation, kingkong est un média, un porte-voix, qui promeut l’écriture enthousiaste et créative. Il croise les avis, raconte des histoires de vie, inspire ses lecteurs sur des sujets, des pratiques et des esthétiques. kingkong creuse et mêle les idées, propose des solutions, chamboule les perceptions, procure des frissons et offre une belle part de divertissements décalés et, la plupart du temps, intelligents. »
Une version low
La plateforme a été développée par Mojo, une agence de communication et de développement web à impact positif, située à Bruxelles. Le parti pris design proposé par Mojo a été d’imaginer une version low carbon pour le site de kingkong. De ce fait, lors de la navigation sur le média, il est possible, à tout moment, de switcher du mode normal au mode low carbon grâce à un bouton qui se situe dans le menu. En low carbon, le site passe en dark mode, les photos se dévoilent en basse résolution, les animations sont moindres et les vidéos ne sont pas lisibles. Le but : sensibiliser les lecteurs à la consommation énergétique du numérique et montrer, par un cas concret, qu’il existe des alternatives.
Le média est à découvrir sur kingkong-mag.com