Dans le cadre de la mission économique wallonne qui se déroule actuellement au Brésil, Mithra Pharmaceuticals a porté sur les fonts baptismaux la société Mithra do Brasil. Il s’agit de la première filiale hors Europe pour la spin-off de l’Université de Liège dédiée à la santé féminine.
C’est en présence du Ministre wallon Jean-Claude Marcourt que la société Mithra do Brasil a été présentée. La création de cette filiale entre dans le cadre du redéploiement stratégique international entamé cette année par Mithra Pharmaceuticals. Présente au travers d’accords de distribution de ses produits dans pas moins de 44 pays dans le monde, la société liégeoise souhaite aujourd’hui et d’ici à 5 ans établir pas moins de 8 filiales dans le monde.
Après le Grand-Duché de Luxembourg et les Pays-Bas, le Brésil accueille la première filiale de Mithra fondée hors Europe.
Mithra do Brasil a été créée en partenariat avec la société suisse Stragen qui, forte d’un portefeuille de développements, proposera à la commercialisation de nouveaux produits pour étoffer la gamme de la filiale brésilienne.
« La volonté affichée est de ré-dupliquer au Brésil le modèle qui a fait le succès de Mithra Pharmaceuticals, annonce d’emblée François Fornieri, CEO et fondateur de Mithra. Je suis très confiant en l’avenir de cette première filiale hors-Europe. Non seulement le marché brésilien présente, par sa taille, une ouverture importante pour notre gamme de produits mais aussi, par la qualité de certains centres et instituts de Recherche brésiliens, des opportunités réelles de synergies en matière de projets de R&D en santé féminine. Notre association, ici, avec Stragen renforcera encore cette dynamique que nous inaugurons au Brésil aujourd’hui. »
La direction de la filiale Mithra do Brasil a été confiée à François Oneglia qui en assumera la Présidence et au Dr Heloisio Rodidrigues qui est nommé Directeur général. Tous deux connaissent parfaitement le marché brésilien de la santé féminine: le premier, français, pour y avoir dirigé une filiale pharmaceutique active en gynécologie pendant 10 ans et le second, brésilien, pour avoir travaillé dans le même secteur depuis plus d’une vingtaine d’années.