Referencefitness.com est un site de réservation de cours collectifs offrant un choix d’activités « à la séance ». Par le biais de ce site, les adeptes de sport peuvent trouver des activités fitness (encadrées par des professionnels), accessibles en un clic, autour d’eux et sans obligation d’abonnement ; tandis que les professionnels du secteur se voient offrir un outil de gestion, de vente et de promotion de leurs activités.
Tout a débuté sous l’impulsion de Claude Houart, à la fois passionné de fitness (moniteur lui-même) et responsable clientèle de l’agence de communication créative liégeoise Doubleffect. Aidé de ses deux partenaires graphistes, Bogdan Tomoiaga et Sébastien Istace, ce dernier a imaginé combiner ses deux activités professionnelles en un projet ambitieux de plate-forme de rencontre entre l’offre et la demande de services fitness.
L’idée a ensuite continué à faire son petit bonhomme de chemin, jusqu’à ce que l’arrivée de l’investisseur Xavier Knauf et de trois développeurs web (Grégory Ludes, Loïc Vanhove et Benoît Westphal) rende possible le développement du site. Depuis, l’équipe s’est vue renforcée par la présence de Alice de Marchin, Monira Glisse et Pierre-Antoine Delnatte, responsables de communication, de clientèle et technique.
Fonctionnement
Grâce au système de géo-localisation, l’utilisateur recherche et sélectionne l’activité qu’il désire pratiquer en l’ajoutant dans son « panier ». Après validation du paiement sécurisé, un mail de confirmation lui est envoyé et des notifications parviennent au moniteur et à la salle. Il ne lui reste alors plus qu’à se rendre au cours où il est attendu et au besoin présenter son email de confirmation.
De leur côté, les professionnels ont juste à se créer un compte, signer la convention de partenariat en gage de qualité, inscrire leurs activités et c’est parti.
Aujourd’hui, l’activité est lancée et le projet se fait connaître. D’abord active sur la région de Liège, l’entreprise se développe également en Wallonie et à Bruxelles et tend, à terme, à conquérir les pays francophones avant d’envisager une plate-forme multilingue.