> Equi coaching participe à la Journée Découverte Entreprise, ce 07/10/2018 !
En ouvrant les pages du « Cheval Magazine » de sa fille, Fabrice Yde est captivé par un article sur l’équi-coaching. Il se procure sans délai l’ouvrage référencé dans les pages du mensuel et le dévore ! Sa vocation – tardive – est née ! Après plusieurs années passées dans des postes à responsabilités dans le domaine informatique, Fabrice estime en effet avoir fait le tour de la question. Mais il en ressort aussi assuré qu’il adore travailler avec d’autres, sans lien hiérarchique, en pleine confiance. « Comprendre la problématique des gens, la débloquer afin que le projet puisse avancer était vraiment ce que je préférais dans mon métier. J’ai donc pensé à une réorientation vers le coaching, mais ses formes et méthodologies traditionnelles ne m’inspiraient pas ».
Une révélation !
Interpellé par une méthode construite sur le recours aux équidés, Fabrice s’y forme auprès d’un spécialiste. « J’ai été soufflé par la puissance de l’outil et ce que la relation au cheval pouvait amener comme prise de conscience » s’émeut-il encore aujourd’hui. Le monde des équidés lui est déjà familier : avec 3 filles pratiquant l’équitation – Manon, Chloé et Lola – le père de famille a été contaminé par la passion familiale depuis de nombreuses années. Allier l’extraordinaire sentiment de liberté éprouvé au contact de l’animal, une activité professionnelle où ce dernier y jouerait un rôle essentiel et le goût du coaching : il ne peut rêver mieux. Il lance alors son activité en février 2018, avec ses 2 chevaux : l’un de grande taille et l’autre de petit gabarit. « Le participant choisit celui avec lequel il a le meilleur feeling »…
Faire comprendre l’intention… par le non verbal
« Mon rôle, développe Fabrice, est de guider la personne dans son contact avec le cheval et de l’aider à interpréter ce qu’elle ressent… sans l’exprimer à sa place ! Notre corps est un tableau de bord qui nous indique ce qui ne va pas, mais nous ne sommes pas assez attentifs à ces avertissements. Par le biais de l’équidé, nous pouvons écouter nos émotions, identifier plus précisément les problèmes pour y remédier ». Transposer à sa vie privée et professionnelle les enseignements de ces prises de conscience est l’objectif ultime. Pour illustrer le bien-fondé d’une forme encore marginale de coaching, notre interlocuteur cite des situations vécues. Il nous relate une séance avec une personne en burn-out, qui a appris à se faire respecter par le cheval, à délimiter, par la posture et le geste, un périmètre que l’animal ne peut pas franchir autour d’elle. Sans un mot. Et de nous rappeler la prépondérance du non verbal sur le verbal dans la communication. « Je peux travailler, en individuel ou en groupe, précise l’équi-coach, sur le leadership, la collaboration, l’attitude face au changement, la gestion du stress,… »
Traditionnellement, les participants commencent par une séance d’« état des lieux » de 2h, pour déterminer la problématique à aborder et le plan d’action à mettre en place. Elle sera suivie par 6 ou 7 séances d’1h30, avec le cheval en liberté. Entre chacune interviennent des réajustements par rapport à l’objectif poursuivi et, en fin de cycle, coach et participant tirent ensemble le bilan du parcours. « Je peux comprendre le scepticisme de certains qui n’oseraient se frotter à cette méthodologie peu conventionnelle. Je les invite donc à venir se renseigner et la découvrir sur le terrain. Par exemple, ce dimanche 07 octobre, puisque Equi-Terra participe à la Journée Découverte Entreprises ! », suggère Fabrice.
EQUI-TERRA – Chemin de l’Agneau, 1 à 1400 Nivelles – GSM : 0475/84.62.37 – www.equi-terra.be
